C’est l’histoire de l’assassinat du garde-chasse Louis Boitsard le 29 décembre 1946 dans une forêt de La Brenne.
L’histoire des aveux de deux coupables qui braconnaient sur des terrains privés
Ce serait une histoire somme toute banale si. . .
Un homme, ignoré de tous, a fait et continuera de faire la lumière sur cette affaire, c’est un témoin essentiel. Ecoutons le. . . et permettons qu’il nous éclaire
MIS & THIENNOT NON ce n’est pas une erreur judiciaire !
05 05 05 cette configuration de date ne se produira qu’une fois dans ce siècle. En ce jour banal mais particulier donc, je viens de revoir Monsieur Lecoq pour qui j’ai toujours eu le plus grand respect. Je l’avais un peu perdu de vue. . . Toujours droit et digne, à peine a-t-il veilli; heureusement si peu. Heureusement car c’est LE témoin essentiel dans cette affaire qu’il va nous évoquer. Un témoin que tout le monde préfère confortablement ignorer. C’est une affaire où la part d’ombre du temps qui passe veut l’emporter sur cette année lumière si lointaine d’après guerre.
Monsieur Lecoq témoigne.
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SENS le 05 05 05
Ce n’aurait été qu’un procès ordinaire si quatre romans écrits quelques décennies plus tard, probablement avec des plumes de paons, et se faisant passer pour témoignages n’avaient déformé la réalité des faits. Ce serait une banale histoire si l’opinion publique n’avait été abusée en faisant jouer sa corde sensible. La réalité des faits la voici tout simplement.
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Porte-bonheur de Mai dont la vérité aura besoin ici.
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